Re: [RP] Auberge du Lys d'Or

zhuyanzhang Mer 17 Oct - 3:05

Aprés de longs jours de route Zhuyanzhang se décida donc de poussé les portes de l auberge histoire de prendre une petit collation et de dormir un peu.

Il entra donc et vit tout se monde a l interieur, il regarda pour essayer de trouvé une place afin de s y asseoir.

Sans que nul ne s apperçoivent de son entré, il alla donc se collé a côté de la cheminée de t établissement.

Joris le grand Mer 17 Oct - 17:27

Joris fit une entrée discrète dans l'auberge et voyant toutes ces personnes il se dit que cette ville doit être grande.Par la suite Joris se dirigea vers la cheminée où il vit un homme seul...zhuyanzhang, il s'installa a côté de lui...

Leane Ven 19 Oct - 21:55

Depuis son arrivée, le silence reignait dans l'auberge, si bien que Leane se demandait si elle n'avait pas interrompu une conversaion privée.
Elle regardait autour d'elle, les gens présents semblaient absorbés par leurs pensées.
Même l'aubergiste n'avait pas daigné venir prendre sa commande.
Elle l'interpela vivement:

Et bien! Dois je venir moi même me servir?
Il y a déjà fort longtemps que je suis là.
Apportez-moi un verre d'hypocras et le plat du jour.

Le village avait bien changé depuis son départ, elle ne reconnaissait aucun des visages présents.
Une vague de tristesse envahie la jeune femme qui repensait à ses proches que la peste avait emportés.

Mahaut Sam 20 Oct - 10:54

Après avoir longuement prié à la Cathédrale, Mahaut parcourut les rues de la ville. Ses pas la menèrent devant l'Auberge du Lys d'Or d'où s'échappaient d'appétissantes odeurs...
Son estomac criait famine... Elle n'avait pas mangé depuis la veille.
Elle explora de sa main le fond de sa poche mais celle-ci était désespèrement vide...
Alors, elle passa son chemin et se promit de revenir dès qu'elle aurait de quoi se payer à manger....

zhuyanzhang Mer 24 Oct - 19:35

Zhu était parti dans ses pensées, il avait remarqué l homme qui s était assied a côté de lui, et lui posa une question...............

Vous aussi vous venez d arrivé dans cette grande ville?

Alienor Sam 27 Oct - 11:43

Alienor était arrivée depuis peu dans cette belle ville de Sens.
Elle en avait un peu parcouru les rues et ruelles, mais ne s'était point attardée jusqu'à présent.
Elle décida tout de même de s'arrêter à l'auberge ... haut lieu de rencontre si l'en est.

Beaucoup de bruit sortait de l'auberge, elle essaya donc d'y entrer discrètement, mais la porte grinça sur ses gonds ... quelques conversations s'arrêtèrent et des têtes se tournèrent vers elle.
Elle vit de nombreuses personnes installées en train de boire et manger.
En jetant un rapide coup d'oeil alentour, elle remarqua quelques personnes qui devaient être des nobles vu la richesse de leurs vêtements, mais également des hommes d'église.
Elle salua à la ronde.

- Bonjour, je m'appelle Alienor et je suis arrivée depuis peu dans cette belle ville.

Elle tourna la tête sans trop savoir où s'asseoir, vit une petite table libre et s'y installa, priant intérieurement qu'on lui apporte vite de quoi se désaltérer.

Aurore Dim 28 Oct - 14:03

Apres sa premier entrée dans l'auberge, Aurore avait visité le reste de la ville sans avoir l'occasion de revenir dans le poumon de celle-ci. Passant devant elle se decida donc d'entrée. beaucoup de nouveau visage était présent, elle les salua tous et alla à la rencontre du tavernier pour offrir une tournée Général au personne présente

Une jeune femme semblait perdue dans au milieu de tout ces champenois. Aurore pris deux chopine bien pleine et parti vers elle.

Bonjour ma dame dit elle en souriant. Je me nomme Aurore.
Voulez vous gouter une bière de notre bon aubergiste?

Alienor Dim 28 Oct - 17:04

Alienor vit entrer une jeune dame qui se dirigea vers le tavernier pour commander des boissons.
Elle la regarda et quelle ne fut pas sa surprise de la voir s'adresser à elle, deux chopes à la main.

- Bonjour dame Aurore ... mon nom est Alienor dit-elle en souriant ... c'est avec grand plaisir que je goûterai de cette bière ... merci à vous

Elle leva sa chope pour trinquer.

- Trinquons à ... euh ... à nous

Et elle vida sa chope cul sec sous le regard rieur de la jeune femme.

gabriel Mer 31 Oct - 10:11

apres un long moment d'observation Gabriel sortir de sa torpeur et empoigna sa cape et se dirigea vers la sortie en saluant tout le monde

aurevoir tout le monde au plaisir !! ^^

il sortie de la taverne et se dirigea vers la cathedrale

pathard Mer 21 Nov - 22:15

Peut de monde en cette soirée, il ne cherchait pas plus que cela de la compagnie, juste un bon repas et un instant de réflexion.
Les derniers événements et la recomposition d’une partie de la famille étaient ses préoccupations premières.

Quant on parle de famille il eu un sourire ,une dame traînait dans les méandres de son cœur ,et il lui tardait de la revoir .
Depuis l’époque de Paris et sa rencontre en Avignon il avait eu certes des nouvelles ,mais cela ne remplaçait en aucun cas sa présence .
Enfin ce soir il voulait juste manger chaud ce reposer un peut et laisser partir ou voulait son esprit .

C’est comme cela qu’il était regardant d’un œil les missives posées devant lui.

fineasse Dim 9 Déc - 14:19

Arrivés devant l'auberge, ils s'arrêtèrent un instant, puis entrèrent enfin.
L'endroit été plutôt calme, en réalité à pars l'aubergiste, il n'y avait pas âme qui vive.
Elle jeta un coup d'œil autour d'elle et avança d'un pas lent.
Elle opta pour une table prêt de la cheminée et retira sa cape. Pathard fit de même.
Le regard de l'aubergiste ne lui échappa pas, il est vrai qu'il n'était pas courant de voir un garde papale et un capitaine se retrouver dans le même lieu, voilà comment se faire remarqué, pensa t'elle avec un léger soupir.

Notre entrée n'est pas passé inaperçu

Elle se rapprocha du feu et se réchauffa doucement. Elle repensa à tout ce qu'il lui avait dit, sur lui et sa famille. Les liens familiaux sont trés important pensa t'elle. Elle eu un pincement au coeur, en ce disant qu'elle n'avait plus personne à présent.
Se tournant de nouveau vers lui, elle osa enfin lui poser la question qu'elle avait laissé en suspend jusqu'à présent.

J'ai deux choses à te demander, est-ce que tes cousins savent qui je suis et d'où je viens, étant de l'armée eu aussi ils ont du enqueter sur mon compte avant que je ne soit engagé comme garde?

Elle ne quitta pas son regard et continua avant qu'il ne réponde.

Qu'ont ils dit et comment ont ils réagit en apprenant que tu étais de leur sang. Sachant ce qui s'était passé à Paris, n'ont ils pas eu des doutes?

Elle se tut en voyant l'aubergiste s'avancer vers eux pour prendre leur commande.

pathard Lun 10 Déc - 22:34

Au regard de l’auberge il ne répondit que par un gros rire

Oui ma douce nous ne pouvions faire pire, mais qui cela gène ?
Toi, moi ?
Il me semble bien que non, alors qu’ils jasent donc tous, si cela peut leur faire passer l’hiver plus rapidement.

Il l’écouta ses questions et sourit de plus belle

Vous etes un ange aux pouvoirs ensorcelants, une envie que l’on veut pour une vie, un trésor que l’on ne partagea point.
Un tout donc.

Alors tu dois savoir que mes cousins sont comme moi, Les liens de la famille sont très forts et ils me font confiance, comme moi je le fais
Confiance en tout, ils me protègent comme moi je le fais.
Et ils savent bien que toutes personnes que je présente et de plus entrante dans la famille sont toute de bonne famille et d’honneur.
Donc ma dame point besoin de faite une enquête sur toi.

Il la regarda droit dans les yeux et lui murmura

Ils m’ont juste demandé de faire une fouille des plus assidue …..

A la fin de cette phrase il se redressa vers un curieux qui tendait l’oreille plus que de coutume :

AUBERGISTE ! AMMENE NOUS DE QUOI MANGE ET UN PEUT DE VIN ……..

fineasse Ven 14 Déc - 22:14

Elle l'écouta et sourit de ses paroles "Ils m’ont juste demandé de faire une fouille des plus assidue …..
"
Elle sursauta quand il éleva la voix pour parler à l'aubergiste et se ressaisit vite.
Quand celui-ci se fut éloigné, elle se demanda ce qu'il avait entendu de la conversation, puis se concentra de nouveau sur Pathard.

Tu vas finir par lui faire peur, à lui parler comme ça.
Mais dîtes moi messire, est ce vraiment vos cousins qui demande cette fouille, car à n voir vos yeux, je me demande si ce n'est pas une idée de votre pars.

Elle lui sourit de nouveau, puis reprit plus sérieusement.

Mais je dois te dire sincèrement, que tout cela est une drôle de coïncidence, d'un simple voyage tu retrouves ta famille et tes racines. Tu as toujours eu cette médaille, n'as-tu jamais essayé de retrouver à qui tu l'avais eu?
C'est quand même étrange qu'un étranger sache te révéler en si peu de temps, ce que tu as ignoré pendant toutes ses années.

Elle se tut, quand l'aubergiste amena leur commande. Quand il se fut éloigné, elle reprit.

Je sais que je pose beaucoup de question, et si cela te gènes, dis le moi.

Elle le regarda, attendant d'en savoir plus.

pathard Dim 16 Déc - 23:15

Il le savait elle ne lâchera point voulant tout connaître savoir, aucun mal à cela, il lui répondrait sans aucun détour n’y aucune ombre.

Il observa l’aubergiste, il lui trouvait une drôle de tête, comme si l’homme fut malade, un doute plana dans son esprit.

Il murmura

Ne touche à rien !

Je te répondrais mais pour le moment je dois en avoir le cœur net !
Il y a ici trop de clame et de silence ,et a tu vu le regarde de l’homme, cela ne te rappel rien ?
Moi si !

Alors ne touche rien et prépare toi, si mes doutes sont fondés il faudra partir et vite !
Rien ne me fait peur sauf elle !

Il alla vers l’homme le regarda il était bien malade il lui demanda sous la menace de sa lame de lever sa chemise au niveau des poignets.

Des taches !

Il recula regardant sa dame

Viens !

Sortons d’ici je ne sais si nous sommes nous aussi sous son emprise ,mais je ne veux prendre aucun risque si c’est le cas nous resterons ensemble chez moi .
Si aucune marque vient troubler notre peau peut être que nous pourrons partir .

Mais pour le moment il faut sortir d’ici !...........

fineasse Lun 17 Déc - 14:08

Elle fut surprise quand il lui dit de ne rien toucher, elle n'avait pas vraiment regardé l'aubergiste, et n'avait pas fait attention à ses yeux.
Pourtant aux mots qu'il prononça avant qu'il ne se lève, elle compris. Une chose lui faisait peur, "LA PESTE", elle eu un tremblement quand elle réalisa enfin, mais reprit vite son sang-froid.
Quand il l'interpela, elle se leva et prit leurs capes. Elle enfila la sienne rapidement et se rapprocha de lui.
Ellelui tendit sa cape et se tourna pour regarder l'homme.
Ils ne pouvaient pas le laisser ici, dans cet état.
Non elle refusait de le laisser comme ça.

On ne peut pas le laisser ici, il doit se soigner.

Elle se tourna vers lui et le regardant bien en face

Tu veux vraiment partir et le laisser là, moi je ne peux pas. Si on ne fait rien, il mourra.

Elle voulut se rapprocher de l'homme, mais il la rattrapa par le bras et l'éloigna trés vite, vers la porte. Quand elle vit les taches sur les bras de l'aubergiste, elle retint un cri. Le pauvre était déjà bien malade.
Sans qu'elle ne puisse rien faire, ils étaient déjà dehors. Le froid lui coupa le souffle.
Elle se tourna une dernière fois vers l'auberge, pensant à cet homme qui elle le savait n'avait plus longtemps à vivre.

Et maintenant, où allons nous? Que va t'il se passer.

Elle réalisa à cet instant, qu'ils étaient peut être malade eux aussi et trembla à cette idée...

pathard Mer 19 Déc - 23:01

Depuis leurs sorties il n’avait rien dit, maintenant qu’ils étaient à l’air libre il la regarda et prononça

Vient, il n’y a plus de temps à perdre.
Suis moi maintenant nous devons nous assurer que nous ne sommes point malade après ma douce, la fuite et au plus vite.

Ils traversèrent rapidement la place filant la tête base vers l’écurie
Après ?

Cela alla vite, il l’attrapa par la taille la hisse sur sa monture et pour ne pas perdre la belle guide son cheval dans la nuit vers le seule endroit ou il les savaient en sécurité.
La il pourrait réfléchir et savoir si ils étaient tous les deux porteur de la mort noire.

C’est ce qu’il lui fessait le plus peur, que les deux soit malade cela aurait été certes leur fin mais ensemble, mais un seule ?
Comment lui dire ?
Il lui fallait en avoir le cœur net les deux ou personne.

Après avoir traverser une partie de la ville ils arrivèrent.
Il poussa la lourde porte entra avec elle et referma le tout.
Dans quelque temps il serait, mais pour un moment ils ne donneraient plus aucune nouvelle car il voulait être sur de lui .

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