[RP] '' La quarantaine ''

pathard Ven 21 Déc - 18:41

Ils avait tout fermé, rien de filtrait de leur présence ici.
L’endroit était sur, il ne l’avait destiné à une telle éventualité, mais devant les dernières nouvelles et ce qu’ils avaient vu, c’était l’endroit idéal pour pouvoir attendre de savoir, comment ils étaient tous les deux.

Juste avant de rentrer dans la demeure, les chevaux furent débarrasser de leur bride et selle.
Il ne pâtiraient point du froid n’y de la faim, une étable ouverte, une réserve d’eau et le tout puissant pour aide devraient leur donner une chance en cas ou.
Si comme il le souhaité, après s’être rassuré, il les retrouverait.
Ils seraient leur moyen de voyager.

Une grande pièce s’ouvrait devant eux .elle était peut meublée, une table quelques siéges une grande cheminée.
Au fond un grand lit ,a coté de celui-ci une armoire et une porte donnant sur une office ou était disposé quelques victuailles et autres objets une réserve des plus banal .

En premier ils leurs fallaient réchauffer l’atmosphère glaciale de ces lieux.

Après avoir fait quelque aller retour et charger la cheminée cela fut fait.

Il pensait vite, ne voulant laisser le désarroi n’y la tristesse le submerger.
Il fallait ce débarrasser de tout ce qui pouvaient avoir été en contact avec la mort noir.

Il alla donc chercher ce grand basin que l’on ne met en service que pour les grandes occasions et avec un seau il rempli une grande marmite.
Il mit le tout à chauffer.
Une fois que l’eau fut à bonne température il recommença le même manège, jusqu’à qu’il eu un niveau appréciable de liquide.

Dame Fineasse l’avait aidé à deux cela est pour toute chose plus facile.
A la fin quant tout fut prés il la regarda et sourit.

Ma demande va te paraître folle, mais je te demande de me faire confiance.
Tu feras ce que je te dis, je le ferais aussi.

Comme il lui avait dit à la parole il mit l’acte.

Quitte tout tes vêtements ne garde rien et jette les dans le feu, quant tu sera prête rentre dans l’eau.
Le tout haut ne nous tiendra point rigueur si encore une fois et hors mariage nous nous retrouvons nue dans le même endroit.

Tu me regardera sous toutes les coutures et ne loupe aucun endroit, j’en ferais de même ……
Si tu ne trouves point de tache et moi non plus c’est encore une fois cette saleté nous auras loupé.
Après il ne nous resteras qu’a attendre et de voir si elle ne ce cache point en nous ……
Après ma douce il sera t’en de retourner vers les vivant si il en reste.

A la fin de ses mots, il était déjà prés, lançant dans le feu la totalité de sa tenu .
Il se tenait devant elle aussi nue que lors de sa venue dans ce monde.

fineasse Sam 22 Déc - 13:21

elle le suivit comme une somnambule, le regardant tout fermer derrière eux. Elle ne comprenait pas ou ne voulait pas acceptait ce qui se passait. après avoir regardé autour d'elle, elle commença à suivre les instructions de Pathard. Quand ils eurent fini de remplir le baquet d'eau bien chaude, elle réalisa enfin le but de tout leurs aller et venu.
Ils avaient préparé un bain. Vu ce qui se passait, elle ne compris pas pourquoi il voulait à cet instant précis, aller faire trempette, vu l'urgence de la situation.
Il se retourna enfin et son sourire la rassura un peu.
A ses mots, elle cru au début qu'il n'avait pas conscience de la situation. Elle allait protester quand, elle compris enfin.
Il fallait se débarrasser de tout ce qui pouvait être contaminer, pourtant l'idée à cet instant de se faire regarder sous toute les coutures, la mis un peu mal à l'aise.
Elle obéit pourtant sans discuter, ni prononcer aucun mot.
Elle jeta toute ses affaires au feu, elle détacha aussi son médaillon, hésitant un instant, c'était tout ce qui lui restait de son père et elle n'eut pas le courage de s'en débarrasser, elle le posa sur la table, puis s'approcha du bac d'eau.
Elle frissonnait de froid, mais surtout de peur, cette peur qui vous prend quand on ne sait pas ce qui va vous arriver ou ce qu'on risque de trouver.
Elle se décida enfin à entrer dans le bain et attendit de voir ce qui allait se passer.

J'ai suivis tout ce que tu m'as dit, alors autant en finir vite. Si l'un ou l'autre est malade, autant que nous le sachions de suite...

Sa voix était presque imperceptible, comme si les mots avaient du mal à sortir.
Quand il la rejoignit dans l'eau, elle tremblait presque, malgré son désir de se controler, cette fois elle avait du mal à se calmer.
Elle commença à l'inspecter en premier, n'omettant aucun endroit.
Rien il n'y avait aucune taches, ni rougeurs.
Elle eu un soupir de soulagement, et le regardant:

Il n'y a rien, tu n'as aucune marque. A mon tour maintenant.

Sa voix tremblait sur ses derniers mots. Elle ferma les yeux et attendit de savoir......

pathard Sam 22 Déc - 17:04

La peur était dans ces yeux.
Bien que le soulagement qu’elle n’ait rien trouvé avait atténué un peut ses craintes, il restait le plus dur pour lui.
Savoir si elle n’était point touchée elle aussi.

Il commença donc repassant plusieurs fois sur les mêmes parties de son corps il voulait être sur.

Il retomba dans le baquet lâchant d’un coup tout l’air contenus dans ses poumons.

Tu n’as rien ……..
Ta peau est parfaite je n’y vois aucunes taches, point de mal en toi.

Il lui sourit, il aurait voulut avoir un plus, il ce contenta juste d’un baisé au coin de sa bouche.

Après cela il sorti de l’eau et profita du feu brûlant dans la cheminée.
Une fois aussi sec qu’une trique il alla vers l’armoire et en sortie une grande pièce d’étouffe.
Il ne savait pas à quoi elle servait, mais serait très bien pour l’usage qu’il voulait en faire.
Il s’enroula dedans et retourna vers cette dame qui emplissait plus encore son cœur et toutes les parties de ses pensées.
Elle frissonnait de froid il l‘invita donc à venir avec lui pour qu’elle puisse s’entremêle ,entre les fils de l’étoffe et profiter de cette magnifique flambée.

Le temps passa donc.
Étrange pensées que celle la.
D’un capitaine Champenois sans aucun homme à commander et d’une garde papale, nues comme des vers, parlant à voix basse de leur avenir et de ce qu’ils allaient faire par la suite.

La chaleur de leurs corps et de la cheminée, la fatigue aussi des jours passés et enfin la peur de la perdre ,sa présence tout prés de lui il avait de plus en plus de mal à résister.

Il n’y avait plus de convenance même plus d’habit entre eux juste l’envie de profiter un moment de ce que la nature commande entre deux êtres qui éprouvent des sentiments forts et partagés …….

fineasse Sam 22 Déc - 22:54

Quand elle ouvrit les yeux, elle se demanda où elle était et ce qu'elle faisait dans cet endroit.
Puis tout lui revint d'un coup. La vue de l'homme malade, la peur de l'être aussi, l'arrivée en ses lieux et le soulagement de savoir qu'ils n'avaient rien ni l'un ni l'autre.
Elle souleva le tête, et vit qu'il dormait encore.
Se levant doucement, elle ranima le feu qui commencer à s'éteindre, et frissonna. N'ayant rien sur elle, elle entreprit de se trouver de quoi se vêtir.
Elle s'approcha de la grande armoire et l'ouvrit. Elle vit avec surprise d'un coté des oblets qu'elle connaissait et de l'autre des vêtements.
Elle attrapa une robe et sa surprise fut grande en la reconnaissant.
Comment tout ça était arrivée ici? Elle pensa qu'elle lui en parlerai plus tard, puis s'habilla. Le contact des vêtements la réchauffa un peu, et les tremblements se calmèrent.
Elle allait inspecter un peu plus l'armoire, quand une lettre tomba.
Elle l'ouvrit et reconnu l'écriture. En la lisant, elle sourit et dés la lecture terminé; le remit en place.
Ses affaires et cette lettre, il azurait des explications à lui donner, de toute façon vut le temps qu'ils allaient passer ici, ils auraient le temps d'en discuter.

Je crois messire, que cette endroit n'était pas destiné à un retranchement d'urgence au départ...

Elle se tourna vers lui, et vit qu'il dormait toujours.
Elle passa machinalement sa main au niveau de son coup , comme si elle cherchait quelque chose.
Son médaillon, elle ne l'avait plus. Elle regarda autour d'elle, mais ne savait plus ce qu'elle en avait fait. Elle l'avait retiré dans l'urgence du moment.
Elle s'approcha du feu, mais ne vit rien.

Il ne doit pas être loin, je n'ai pas pu le perdre, c'est impossible.

Elle avait haussé le ton, sans s'en apercevoir. N'ayant pas fait attention que derrière elle, Pathard s'était réveillé.

pathard Dim 23 Déc - 20:10

Dans les temps de morne vie, dans l’hivers cinglant de ses griffes la peau mise à nue.
Dans les piqûres du vent l’amant fou de la dame blanche, la chaleur de leur nid était un réconfort .
Messire rêvait ……..
Enlacé dans les plus magnifique des rêves, volant loin sur les ondes de la volupté. Dans cette
Nuit de fantasmes réalisés, ode à l’amour aux envies enfin dévoiler et retourver.

Plus que la place vide à coté de lui c’est une voix forte mais bien connue qui le fit revenir du pays des songes.

Il ouvrit les yeux regardant de suite l’endroit d’ou venait le son.

Elle avait donc trouvé ce qu’il avait mis ici, connaissante la demoiselle il savait qu’il devait bientôt avoir une de ses discutions qui donne à votre vie un piquant et bien des envies.

Plais t’il ma douce ?
Que t’arrive t’il pour être dans sas état ?
Aise le fait que tu retrouve ici une grande partie de ta garde robe et affaire ?

Il la regarda
Sa main sur son cou lui fut comme une révélation, elle cherchait donc son médaillon, la seule chose qu’elle avait gardé comme lui ; il n’avait pas put s’en débarrasser.

Viens ne cherche plus il est la regarde juste à coté de l’armoire tu trouvera ma besace, il est dedans avec le mien.
C’est tout ce qui nous restes de notre passé.

Il regarda son doigt

Non je vois aussi que tu la garder trop préoccupé par ma recherche sur le mal je ne m’en était point aperçu

Allons ma dame votre tenue vous va à ravir, mais je ne pense point qu’elle sera des plus commode pour ce qui nous attend.
Chevaucher jusqu'à l’Isle comme cela serait, une gène pour toi.
Pour le moment ma dame elle est une invitation à un dîner, c’est ce que je te propose et nous avons à parler aussi.

Après cela, tu trouveras une tenue pour notre voyage.
Elle sera comme la mienne
Sans signe et de couleur brune.

Point que je crains les chemin, mais je veux allé vite et rejoindre le domaine royale le plus tôt possible.
Discrétion et rapidité voila ce que je voudrais.

Il se leva, frissonna de froid, s’étira et pris l’étoffe posée sur le sol.
Il s’avança vers elle, s’inclina tout en faisant volé le plis de sa toge improvisé.

Je vous salut ma dame, avez-vous comme moi fait un songe des plus merveilleux ?..................

fineasse Dim 23 Déc - 22:46

Concentrée sur la recherche de son médaillon, elle n'avait pas remarqué qu'il était réveillé.
Elle fut surprise d'entendre sa voix et sans qu'elle ne lui ait rien dit, il savait ce qu'elle chercher.
Elle se dirigea vers l'endroit qu'il lui indiquait et ouvrit la besace. Elle poussa un soupir de soulagement, en voyant son médaillon.
Sans attendre, elle le remit de suite. Il représentait tant de souvenir........
Elle se tourna ensuite vers lui, et lui sourit.

Merci de l'avoir mis en sureté, il est trés important pour moi comme tu le sais.

Quand il regarda ses mains, elle regarda instinctivement sa bague.

Je ne veux pas m'en séparer, tu le sais.

Elle le regarda s'approcher d'elle et son sourire en disait long. Elle lui sourit à son tour et répondit à sa question.

Je ne sais combien de temps, j'ai dormi, mais le peu fut des plus plaisant, merci messire.Par contre en ce qui concerne ma tenue, je la trouve pour le moment très adapté à cet instant, et il me semble qu'il est encore un peu tôt pour penser à repartir.
Hier certes nous n'avons trouvé aucune trace sur nous, mais nous devons attendre encore un peu avant de penser prendre la route.
Je ne veux prendre aucun risque et surtout pas en ce qui te concerne.
Alors prends patience et nous parlerons de départ dans quelques jours si tu le veux bien.

Elle se détourna aprés lui avoir déposé un baiser sur les lèvres. D'un pas lent elle se dirigea vers l'armoire et l'ouvrit.

Mais pour le moment messire, vous me devez une explication. Que font mes affaires ici. Seraient-elle arrivé toutes seules dans cette armoire?

Elle savait que ses affaires ne venaient pas de Paris, car elle avait pris peu de chose pour voyager plus vite. Alors comment avait-il fait pour les amener ici?
Et la lettre de sa nourrice, pourquoi ne pas lui avoir donné avant?

pathard Jeu 27 Déc - 15:08

Toujours avec la même tenue c'est-à-dire rien !
Il répondit à son étreinte et vu où elle se dirigeait, il savait qu’il lui devait une explication.

Et bien ma dame comme tu peux le voir, il y a ici tes vêtements et pas ce de Paris mais bien l’autre partie …
La lettre de votre nourrice ma douce doit vous guider un peut sur la provenance de tout ceci.
Je n’ai pas fais que mettre toutes les personnes qui tu aimes en sécurité, j’ai aussi profité de mon voyage pour récupérer grâce à elle tout tes effets.
Une preuve de plus pour votre, comment dois je dire votre parent ?
Que vous n’avez plus rien à faire avec lui, sauf bien sur pour des relations normales et de bonne famille.
De plus n’étant point un rustre je l’invite à notre union, preuve encore que j’ai un peut de savoir vivre.

Il la regarda et frissonna

Ma dame puisque vous me dites que nous avons du temps avant de partir, je ne vois qu’une solution à ma situation devant vous.
Soit je décide de me vêtir ou vous venez avec moi chez moi.

Par un signe de tête il lui désigna la couche.
Puisque ils avaient du temps et que celui de dehors n’était pas vraiment des plus clément, il ne restait que peut de possibilité.

De plus ma dame, nous avons toujours des doutes sur la maladie et une étude s’impose donc, vous ne trouvez point ?

Par un geste ample sa toge improuvée glissa, il lui sourit

Dois je me vêtir ou courir et vérifier que vous n’etes point malade …………

fineasse Jeu 27 Déc - 20:42

La perspective d'imaginer son parrain à leur mariage la fit sourire. Pourtant elle ne lui dit, ne voulant pas lui donner le font de sa pensé à son sujet, ne voulant rien gâcher.
Elle ferma la porte de l'armoire et se tourna vers lui. Il était nu juste devant elle, attendant de savoir ce qu'elle voulait. Elle lui répondit tout en avançant lentement.

Il me semble messire, que vous avez déjà hier examiné mon anatomie et qu'il n'y avait rien. Pensez-vous vraiment qu'au bout de 24h une de ses maudite tache ait pu faire son apparition?

Elle s'arrêta à mis chemin et le fixa dans les yeux

Mais ne m'aviez vous pas dit que vous aviez faim, aurais-je mal entendu. Juste à savoir la manière de vous restaurer, afin de pouvoir agir en conséquence.

Elle reprit lentement sa marche et le fixant toujours, elle lui sourit.

Mais d'un autre coté, nous devons rester vigilant et ne négliger aucun risque de savoir si nous sommes malade. J'avoue que c'est un dilemme, et qu'il faut bien réfléchir à la chose.
Trouver le moyen d'apaiser votre faim, ou d'un autre coté, vérifier que rien ne sait passé durant la nuit.......

A la fin de ses paroles, elle était arrivée juste devant lui, le frôlant presque........

pathard Jeu 27 Déc - 21:59

Il frissonna de plus en plus, mais était ce de froid ou d’autre chose …………
Toute prêt de lui ce trouvait bien des envies ; des désirs et puisque qu’elle parlait de faim, la était aussi un dilemme des plus étrange, de quelle faim voulait il donc bien parler ?

De celui qui clame le corps et réchauffe l’être, vous donnes l’aspect d’un moine ?
Ou de celle qui vous enflamme et consume votre âme aussi sûrement que tous les feux du dessous ?

Il lui chuchota

On dit ma dame que dans certaine abbaye il excite des ouvrages qui parlent de certaines coutumes et de peuple qui savait mélanger les genres et fait.
Il est bien vrai que j’ai faim et que je ne serais contre un morceau de viande et de pain ……..
Mais ma dame de vous voir si prés de moi ouvre une autre forme appétit et puisque vous me parlez de la bête noire …..

Il la frôla encore plus, laissant sa bouche lui toucher le cou, parcourir la nique,cherchant ses endroits qui font que les poils bien malgré eux ce lèvent et dansent au son des cors et trompettes du trouble apparent.

Il ne faut rien négliger avec elle et il voudrait mieux s’en assurer deux fois qu’une…….

Ses mains jouaient aussi cherchant le contact de sa peau

Quelle n’est point en nous ……..

Dehors le bruit combiné d’une crécelle et d’une charrette aux roues mal entretenues, lui rappela que l’on nettoyait les rues et ruelles.

Nous n’avons plus de temps ou presque plus aujourd’hui ma dame est notre dernier jour, nous partirons à la nuit tombée.

Mais je ne voudrais abîmer votre tenue !
Je vous invite donc à dîner et puisque nous sommes seule ……..point de table n’y serviteur et de tenue pour cela ……..
Faite moi donc la garce de vous préparer et nous ferons après une collation et nos observations.

Ses bras étaient autour d’elle.

Si ma dame veut bien ce donner la peine, je serais encore une fois charmé de la convier à un souper en tête à tête …….
Sans d’autre forme de protocole que l’envie de vous et de m’assurer de votre bonne santé …………..

Il la lécha allant chercher ce qui pouvait bien être consommé espérant qu’il ne trouvait rien sur elle.
Certes cela était comme un jeu et bien sur d’amoureux mais au plus profond de ses entrailles, la peur de voir sur elle la tache de la bête le faisait encore plus foisonner…….

fineasse Ven 28 Déc - 16:46

De baisers en caresses, elle se laissa emportée par ses jeux.
Elle fut surprise de se réveiller à coté de lui, elle avait du s'endormir en discutant, la fatigue l'ayant gagné. Elle sourit en voyant qu'elle n'était pas la seule a avoir succombé.
Jouant avec son médaillon, elle ne bougea pas de suite. Elle repensa à ses jours passés rien qu'a deux et soupira se disant que bientôt ils devraient partir, laissant pour un moment cette demeure où elle avait été si bien. Mais elle était aussi soulagée de savoir qu'il n'était pas malade et que la mort noire, les avait frôlé, mais n'avait pas eu raison d'eux.

Elle se décida enfin à se lever, regardant sa robe, elle la prit et la remis dans l'armoire, optant pour une tenue plus pratique pour le voyage.
Enfin prete, elle se dirigea vers le lit et s'assit au bord. Elle lui caressa la joue doucement et lui sourit quand il ouvrit les yeux.

Et bien messire, votre repos fut il bon?
Je suis navrée de devoir te réveiller, et même si je n'ai pas envie de quitter cette demeure, il va falloir penser à nous préparer pour le départ.
Si tu veux être prêt pour la tombée de la nuit, il va falloir penser à te vêtir.

Elle ne put réprimer un sourire, depuis leur arrivé, elle ne l'avait pas vu une seule fois habillé, et se demander s'il avait prévu des affaires pour le voyage.
Elle perdit son sourire en pensant qu'elle allait être de retour à Paris, l'idée ne l'enchantait guère, elle n'avait pas de trés bon souvenir de l'époque où elle y logeait. Elle se redressa

Il est temps de penser à se restaurer aussi, je vais voir ce que je peux faire.

Elle se détourna et se dirigea vers la cuisine.

pathard Ven 28 Déc - 23:34

Ouvrir les yeux et voir une fleur est et restera une joie même dans le frima de l’hivers surtout dans les frimas de l’hivers.

Pour te répondre comment il pourrait en être autrement ?
Je sais que nous ne sommes point malade et je suis avec toi.
Que demander de plus ?
Peut être que cela ne s’arrête point, mais il est temps de faire diligence et de prendre des nouvelles.

Il la regarda partir chercher de quoi faire un repas encore une fois ici, après et bien comme les autres, au petit bonheur la [i]chance.
Il s’étira fit craquer ses os, ouvrit grand la bouche en ce grattant le vendre et enfin décida de ce lever et de revêtir une tenue.

Il éclata de rire

Oui messire cela fait un moment que tu es nu comme un ver il serait temps que tu jetasse sur toi quelques fripes ,le voyage s’annonce des plus hardi et on ne sait point qui nous allons croiser sur les chemins .

Chose dite chose faite
Ici c’était chez eux il y avait toutes sa garde robe fort simple et de toute façon il savait déjà ce qu’il allait revêtir.

C’est en homme d’ost qu’il le ferait il regarderait aussi sa dame car ce n’était point un voyage d’agrément qu’ils allaient faire ; mais essayer de retrouver des survivants de plus il aurait aimer revoir soit une partie des garnisons Champenoise ou de la garde Papale.
Il souhaitait juste que monseigneur UterPendragon eu trouver une escorte.
Le peut d’homme qui était restaient avec lui avait reçu ses ordres :

A la garde papale

Moi Path de Salignac dit ‘ Pathard’ major de la garde et capitaine par intérim demande et ordonne ce qui suit :
A tous les gardes présents :
Faite en sorte que tous les connétables de notre sainte église trouvent auprès de vous une escorte mais aussi un réconfort dans l’épreuve.
Aucun ne devrait partir seule.
Que le tout haut vous guide et soit pour vous votre force.

Mais il ne savait faute de nouvelle ce qui advenait de tout cela.

Il était grand temps que lui et dame fineasse honorent leur rang et aillent retrouver leur compagnons d’arme.
Si par chance il retrouve les deux il ferait de sorte de confier la protection de la curie à une personne de toute confiance.
Quant à lui il reprendrait le commandement des hommes de l’ost Champenois et ferait une escouade avancée, balayant les chemin à la recherche de personne seine et écartant les profiteur avec les armes.

Il était donc grands temps de partir et de savoir.
Il profita du temps mis par Fineasse pour aller voir les chevaux.
Point de mal pour eux aussi.
Des bêtes dressées au combat, elles avaient trouvées de quoi subvenir à leur besoins point de mourrons à ce faire donc ; elle étaient même prêtent a repartir, elle aussi.

Une fois que sa dame fut revenue le repas avaler sa tenue vérifier, il la regarda lui sourit et l’embrassa.
Il lui tendit une cape brune qui recouvrait leur tenue et leurs armes .

Nous sommes prêt ! En route ma dame !!

Ils partirent donc direction l’Isle de France .

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